Qu’est-ce qu’être un autoentrepreneur ?

Comme susmentionné, être un auto-entrepreneur est simplement le fait de se lancer à son propre compte. Cela peut présenter énormément d’avantages. Ce qui explique d’ailleurs la tendance actuelle à l’auto- entrepreneuriat. L’année dernière, le nombre officiel de prestataires indépendants dans l’Hexagone a augmenté de 65% par rapport à la précédente. Désormais, la France compte donc plus de 800 000 autoentrepreneurs et les chiffres ne s’arrêtent pas là.

– Différents métiers possibles

Si l’autoentrepreneuriat est aussi prisé en France de nos jours, c’est aussi parce que le statut s’adapte à plusieurs types de métiers. Par exemple, vous pouvez devenir consultant pour des entreprises. Désormais, les grandes sociétés comme les petits préfèrent sous-traiter une grande partie de leur gestion plutôt que de faire appel à des travailleurs classiques.
Il y a aussi le fait de vous lancer comme freelance. C’est notamment très tendance dans le domaine du web et de l’informatique : développement, webmastering, référencement, création de contenu, community managing, etc.
Et il y a le fait de vous lancer personnellement dans le domaine de la prestation de service à la personne. Ce dernier est très large : bricolage, réparation, artisanat, etc.
Dans les faits, vous n’avez pas spécialement à changer de domaine de compétence ou forcément à avoir une bonne idée pour vous lancer en tant qu’autoentrepreneur. Et c’est le premier avantage de ce statut.

– Le statut d’« étudiant auto-entrepreneur »

En France, les professionnels ne sont pas les seuls à se lancer dans ce type d’aventures. Les étudiants sont également nombreux. Ils souhaitent mettre à profit leur connaissance pour gagner mieux leur vie et financer leurs études ainsi qu’une partie de leurs dépenses pendant les cursus.
Outre ceux qui ont un projet mûr à développer, dont le financement peut être apporté par des banques, vous avez ceux qui choisissent aussi de se lancer à leur compte pour proposer des services pour le moins classique : accompagnement scolaire, vente en ligne, etc.
L’une des conditions pour devenir un étudiant autoentrepreneur est d’être réellement inscrit dans une université suivant un parcours quel qu’il soit et de se lancer dans des démarches administratives pour la déclaration de l’activité. En échange, les participations sociales sur les revenus seront moindres.

– Autoentrepreneur : un statut légal avec tout ce que cela implique

Car, effectivement, autoentrepreneur est un statut légal, et ce, avec tout ce que cela implique. Une fois déclaré, vous allez devoir verser des cotisations sociales sur les revenus de votre activité. Bien évidemment, ce ne sera pas la même assiette que pour les grandes entreprises.
Désormais, vous avez des charges patronales à assurer. Mais elles peuvent être déduites des rentes pour les caisses d’épargne retraite ou encore les comptes d’assurance maladie professionnelle autoentrepreneur. Les prestataires indépendants ont aussi les mêmes droits que les grandes sociétés. C’est la dernière nouveauté en France.

– Autoentrepreneur ou simplement travailler pour son propre compte

Mais au final, si on doit en parler simplement, devenir un auto-entrepreneur c’est travailler pour son propre compte. Vous n’avez pas de patron. Donc vous serez libre de vos faits et gestes et même de la gestion de votre emploi du temps. Et vous n’aurez pas de sous-fifre. On parle d’une autoentreprise.

Comment se déclarer comme auto entrepreneur ?

Vous ne devenez, bien évidemment pas, un auto-entrepreneur au petit bonheur la chance. Vous devez vous déclarer en tant que tel avant d’obtenir les justificatifs de rigueur qui prouvent la légalité de votre activité. Alors, comment faire pour vous déclarer officiellement ?

– Procéder avant même de commencer à exercer

Contrairement à d’autres pays, en France, on exige aux autoentrepreneurs de se déclarer avant de commencer à exercer leur métier. Cela vous assurera un peu plus de sécurité sur le marché. Sans avoir été déclaré officiellement, vous avez peu de recours en cas d’arnaque ou de problèmes en tout genre dans l’exercice de vos fonctions.
Et quelques préparations seront de rigueur avant de procéder à la déclaration officielle proprement dite. Notamment, vous devez trouver votre enseigne, votre siège qui peut être votre adresse ou une adresse professionnelle à louer, le système de prélèvement de vos impôts par mois ou par année ainsi que le mode de paiement, etc.

– Les documents dont vous avez besoin pour vous déclarer

Et pour ce faire, vous devez vous munir de certains documents. Notamment, vous devez remplir et présenter le formulaire Cerfa n° 15260. Il importe également de fournir vos pièces d’identité et le certificat de résidence du siège de votre activité s’il s’agit d’une autre adresse que la vôtre.
Pour vous déclarer comme autoentrepreneur, vous devez aussi passer par la banque. Le législateur a récemment insisté sur l’obligation d’ouvrir un compte bancaire professionnel différent de celui personnel avant l’ouverture d’un dossier officiel au RCS. Cela aide d’ailleurs dans la gestion de votre activité.

– Où aller ?

À savoir que désormais, il est possible de ne pas se déplacer pour déclarer l’ouverture d’une entreprise en France. Tout est digitalisé. Vous pouvez accéder aux formulaires sur les sites officiels et vous lancer dans les démarches sur le site de la chambre de commerce et d’industrie ou encore la chambre de métiers et de l’artisanat en fonction du type de prestation que vous comptez proposer.
Et si vous êtes un autoentrepreneur qui souhaite exercer une profession libérale, le site de l’URSSAF sera plus approprié.

Comment attirer des clients pour bien gagner votre vie en tant qu’autoentrepreneur ?

Le métier d’autoentrepreneur peut certes présenter énormément d’avantages, mais il y a également des inconvénients, dont un de taille. En vous lançant à votre propre compte, vous n’avez pas choisi la stabilité. Vos revenus varieront selon votre productivité, et notamment selon le nombre de clients que vous aurez réussi à séduire. Si vous avez envie de vous lancer, vous devez donc apprendre quelques ficelles pour vous faire une jolie réputation sur le marché et ainsi mieux gagner votre vie.

– Une déclaration officielle de votre activité est déjà une bonne chose

Une déclaration officielle de votre activité est déjà un bon pas en avant pour mieux séduire les clients. C’est ce qui vous permettra d’obtenir un Kbis pour auto-entrepreneur et donc de les rassurer quant à la légalité de votre activité et à votre professionnalisme.
Pour résumer en quelques mots, le Kbis est une copie de l’extrait du registre officiel qui prouve votre présence sur le marché. C’est un document qui présente votre entreprise dans ses grandes marges. Simplement, c’est la pièce d’identité de votre société. Et comme tout document officiel, le kbis aura un délai de validité. Il est de 3 mois. Au-delà de quoi, vous devez en redemander.
Il importe de souligner que de plus en plus de clients demandent désormais l’extrait de Kbis à leurs prestataires avant de leur confier ou non le contrat. C’est donc toujours important d’en avoir un à disposition et qui soit à jour. Cliquez ici si vous souhaitez accéder à plus d’informations utiles concernant l’extrait Kbis pour autoentrepreneur.

– Une présence en ligne est nécessaire

Et vous n’êtes pas sans savoir sûrement que désormais, on ne peut pas s’en sortir en tant que prestataire de service sans avoir une présence en ligne. Et on ne parle pas seulement de la création d’un site web qui mettra en avant vos prestations et vos talents. Il faudra également envahir les réseaux sociaux pour espérer se rapprocher des clients le plus possible.
En plus, les autos-entrepreneurs peuvent désormais profiter des sites intermédiaires où ils peuvent créer des profils en ligne pour être facilement accessibles pour les particuliers. Ce peut être une aubaine pour gagner des contrats en plus et simplement.

– Prenez les choses en main et faites votre publicité vous-même

Mais ne vous fiez pas uniquement à internet. Le digital marketing fonctionne, certes, mais vous devez aussi prendre les choses en main et assurer vous-même la publicité de votre activité. Ce peut être en faisant des animations en tout genre. Ce peut être aussi en distribuant des prospectus dans les commerces ou dans les rues.
Pour les artisans, investir dans un véhicule professionnel peut être terriblement impactant pour votre réputation sur le marché. Ainsi, quand vous allez d’une intervention à une autre, vous vous assurez un maximum de visibilité dans la rue.

– Misez sur le bouche-à-oreille

Et enfin, vous devez miser sur le bouche-à-oreille. C’est-à-dire que vous devez faire attention à la qualité des prestations que vous proposez. Cela peut vous valoir des recommandations et vous ramener de nouveaux clients. Sans compter que c’est le meilleur moyen de fidéliser.
Attention toutefois, le rapport qualité-prix de vos prestations doit se baser sur les tarifs du marché. Vous ne pouvez pas vendre moins cher vos services afin de vous assurer une meilleure clientèle. Du moins, vous ne pouvez pas faire de vente à perte, ce serait illégal. Mais à vous d’exploiter la faiblesse de vos concurrents pour vous démarquer plus rapidement.
Vous êtes paré pour devenir un autoentrepreneur. C’est une belle alternative à envisager notamment si vous êtes au chômage depuis longtemps et que vous avez du mal à rebondir, car, désormais, les entreprises préfèrent se tourner vers les indépendants que d’engager.

Des emplois qui paient bien

En haut de la liste des emplois qui paient le mieux cette année, il y a le métier d’entrepreneur. Non seulement dans notre pays, mais pratiquement dans le monde entier, ce métier compte parmi les plus rémunérateurs. Le salaire, bien sûr, dépend de la taille de l’entreprise et de l’activité, mais un entrepreneur peut toucher entre 10 000 et 1 million d’euros par an. Le métier d’anesthésiologiste est également très avantageux. Pour en devenir un, vous devez suivre des études de médecine. C’est un métier très exigeant et qui réclame des compétences pointues, mais un anesthésiologiste peut percevoir 100 euros de l’heure, ce qui veut dire dans les 12 000 euros mensuels.

Architecte, développeur de logiciels et expert-comptable

Le métier d’architecte paie très bien aussi et si vous voulez vous reconvertir professionnellement, sachez que le salaire est entre 3 000 et 6 000 euros par mois. Mais ce salaire peut encore augmenter selon l’entreprise ou le pays où vous travaillez. Le métier de développeur de logiciels est également intéressant, car c’est un métier d’avenir. Même débutant, vous pouvez toucher facilement 2 000 euros par mois et davantage avec l’expérience. Enfin, le métier d’expert-comptable, indispensable dans toute entreprise qui se respecte, permet de bien gagner votre vie. Le salaire tourne autour de 5 000 à 9 000 euros mensuels.

Un département essentiel

En fait, cette direction est le coeur même de la stratégie d’innovation d’une entreprise et c’est là le secret de la réussite et de la compétitivité de celle-ci. Analysons davantage les fonctions de cette direction afin de saisir pleinement son importance. Les objectifs de la Direction Recherche et Développement consistent à donner la possibilité à l’entreprise d’adapter ses produits en fonction de l’évolution du marché et des offres des concurrents par exemple, de manière à répondre au plus près possible aux demande des clients. Les cadres qui composent la Direction travaillent à la définition de la stratégie de recherche et de développement de l’entreprise sur la base des stratégies de l’entreprise elle-même. Il a été noté que certaines industries, la Défense, les télécommunications, les biotechnologies, etc. consacrent la majorité des postes de direction en leur sein en recherche et en développement.

Missions de la Direction R&D

La première mission des cadres R&D est définir la stratégie d’innovation. De quoi voulons-nous parler ? En fait, ils ont en charge l’élaboration de la stratégie produits en tenant compte des besoins du public cible. C’est à eux d’effectuer la veille scientifique et technique dans ce domaine précis. Et ils doivent aussi analyser leur propre position dans l’échiquier commercial, définir leurs points forts comme leurs points faibles, le tout sous le couvert de la Direction générale. Une autre mission de la Direction R&D, c’est le pilotage et la coordination des projets R&D. Tout ce qui est projet R&D, c’est à cette Direction de les prendre en charge, notamment leur exécution et leur réalisation, en en contrôlant le déroulement. Pour cela, ils doivent établir les coûts et les délais, tout ce qui concerne le budget essentiel à tel ou tel projet, et ils s’assurent également que les équipes et les moyens sont en parfaite adéquation. Et enfin, la gestion des ressources dédiées aux projets fait aussi partie de leurs missions. Autrement dit, c’est à la Direction R&D de coordonner les relations entre les équipes et les prestataires externes ou les partenaires.

Les métiers de la Direction R&D

Il existe de nombreux métiers qui sont compris dans la fonction Direction R&D. Citons-en quelques-uns : Directeur études, recherche et développement en premier lieu, celui qui chapeaute toutes les équipes, puis Directeur de programme qui travaille en étroite collaboration avec le Directeur études, recherche et développement. Ensuite, Directeur de bureau d’études, Responsable recherche et développement et Responsable de laboratoire de recherche. Il y en a d’autres encore, surtout dans la partie exécution des projets. En général, les cadres de Direction R&D officient au sein d’un

L’inscription au statut d’auto-entrepreneur

Vous pouvez faire votre déclaration en ligne (notamment sur ce site) ou la déposer directement auprès de l’institution correspondant à votre activité. Pour les activités commerciales (vente), la déclaration se fait à la Chambre de Commerce et de l’Industrie. Pour les activités artisanales, elle se fait à la Chambre des Métiers. Pour les professions libérales ou les prestations de services, l’inscription se fait à l’Urssaf. Une fois que vous êtes enregistré, l’INSEE vous attribue un numéro de Siret. Vous n’avez plus besoin de vous enregistrer au Registre de Commerce et des Sociétés avec ce statut. Cependant, la nouvelle loi de 2010 oblige l’auto-entrepreneur ayant une activité artisanale comme activité principale de s’immatriculer au registre des métiers.

La déclaration du chiffre d’affaires

On parle ici de la fiscalité de l’auto-entrepreneur et de ce qu’elle doit déclarer en imposition. Il est soumis à l’IR ou Impôt sur le Revenu. L’IR des activités commerciales et artisanales est considéré comme micro-BIC ou bénéfices industriels et commerciaux. Pour les activités non commerciales et les professions libérales, l’IR est classé micro-BNC (Bénéfices non commerciaux). Le régime fiscal de l’auto-entrepreneur s’exerce donc de plein droit. Le régime fiscal de l’auto-entreprise repose sur 2 principes : la franchise de TVA et le plafond du chiffre d’affaires. Le statut d’auto-entrepreneur est exonéré de la TVA à condition de ne pas dépasser le seuil de plafond du chiffre d’affaires. Ce dernier est de 170 000 € pour l’achat et vente, et de 70 000 € pour les prestations de services. Ce chiffre d’affaires est calculé pendant une année complète, soit 365 j. Par exemple, si une activité démarre le 20 avril 2020, l’année d’activité sera comptée 365-110 = 255 jours. Le plafond sera calculé comme suit : (70 000 € x 255)/365= 48 904 €. Si le régime fiscal est simplifié, on peut faire un prélèvement libératoire forfaitaire sur l’IR.

Le régime social de l’auto-entrepreneur

L’auto-entrepreneur exerce sous le régime microsocial. De ce fait, il bénéficie d’une protection sociale complète à savoir une indemnité de chômage, une mutuelle santé et une retraite. Le paiement de la cotisation se fait par mois ou par trimestre selon la période de déclaration du CA. La cotisation est calculée en proportion du CA. Il existe déjà une grille des taux de cotisation selon l’activité. Par exemple, pour les activités commerciales de vente marchandise/fourniture logement et de denrée, le taux est de 12,8 %. Pour les prestations de services commerciales, artisanales et libérales (relevant du RSI retraite) le taux est de 22 %. Puis, pour les activités libérales (relevant de CIPAV retraite), le taux est aussi de 22 %. Le taux appliqué au chiffre d’affaires selon l’activité exercée est différent. Pour les activités de vente mentionnées ci-dessus, le taux est de 8,6 %. Pour les activités de prestation de service commercial, artisanal et libéral (relevant de la RSI), le taux est de 14,6 %. C’est le même taux pour les prestations libérales non réglementées (BNC). Il faut aussi noter que le statut d’auto-entrepreneur exige de payer une contribution à la formation professionnelle ou CFP. Elle est en général égale au pourcentage du CA. Pour les activités artisanales, ce taux est de 0,3 %. Pour les activités commerciales, il est 0,1 % et pour les prestations de services ainsi que les professions libérales, il est de 0,2 %. Cette contribution doit être versée avec les autres cotisations, dont les cotisations d’assurance maladie, d’allocation familiale, d’invalidité et de retraite.

Les aides disponibles pour l’auto-entrepreneur

L’auto-entrepreneur bénéficie de différentes aides financières à savoir l’Acre, l’Are et le Nacre. L’Acre est une franchise sur les charges sociales attribuées au demandeur d’emploi créant une entreprise. Cette exonération est partielle et progressive. Pour une activité démarrée avant l’an 2020, le taux se calcule sur les 3 années d’exercice. Il est de 25 % la première année, 50 % la deuxième année et 75 % la dernière année. Pour une activité créée après 2020, elle se calcule sur 1 an et le taux est de 50 %. Pour bénéficier de l’Acre il faut être demandeur d’emploi ou avoir moins de 25 ans. L’Are, quant à elle, est une Aide au Retour à l’Emploi dédiée au demandeur d’emploi ayant déjà l’Acre. C’est un versement réalisé en 2 fois par Pôle Emploi et qui correspond à 45 % des allocations au chômage. Puis, il y a le Nacre qui est une aide pour la création et la structuration financière d’une activité qui démarre. C’est un accompagnement et un prêt à taux 0 allant de 1000 à 10 000 € à rembourser en 5 ans. Pour en bénéficier, il faut être bénéficiaire de l’Are ou de l’ASP. Il faut aussi être demandeur d’emploi et non indemnisé. Par ailleurs, il faut bénéficier du RSA ou de l’allocation ASS et avoir moins de 30 ans. Enfin, les personnes sans emploi qui ont un contrat d’appui au projet entreprise (CAPE) et qui bénéficient de la PreParE ou la Prestation partagée d’éducation de l’Enfant peuvent également jouir du Nacre.

Les métiers du Web pour une vie de famille épanouie

La rédaction Web est l’un des métiers qu’il est possible de faire chez soi. C’est une véritable profession qui consiste à fournir des contenus pour des sites et des blogs. Les travaux d’écriture sont différents de ceux de la presse et des romanciers. Il est donc préférable de suivre une brève formation avant de se lancer dans ce domaine. Quoi qu’il en soit, d’autres choix de métier existent. Il y a celui du référenceur, du développeur de sites ainsi que le Communauty manager qui peuvent également être envisagés. Ce sont des spécialités distinctes qui ont leurs propres particularités. Ceux qui travaillent dans ce secteur sont souvent des freelances. Ce statut de libéral leur permet d’organiser librement leur emploi du temps. Ils doivent néanmoins respecter des deadlines et gérer diverses contraintes techniques. Pour faire ces métiers, il faut de la rigueur et de la patience.

La vente en ligne pour une indépendance financière

Vendre sur Internet permet à de nombreuses mères au foyer d’arrondir leurs fins de mois. Cette activité lucrative ne requiert aucun diplôme ni qualification en particulier. Il suffit de trouver de bonnes idées. Les plus grosses fortunes du monde sont des e-commerçants. Eh oui, le succès dans les affaires peut aussi se conjuguer au féminin. Dans le cas du MLM, le vendeur doit juste écouler le stock en sa possession dans un premier temps. Ce marketing relationnel fait contrepieds aux réseaux de distribution classiques. Après avoir elle-même testé les produits, une mère de famille peut devenir l’ambassadrice dans son entourage. Au bout d’un moment, elle peut inviter d’autres amis à faire partie de son cercle de revendeurs. Quoi qu’il en soit, c’est une manière de gagner de l’argent honnêtement et grâce à son amabilité. Celles qui ont le contact facile devraient y songer. Elles peuvent se rendre sur marketingdereseau.net pour trouver des astuces efficaces pour bien exceller dans le MLM.

Des métiers beaucoup plus classiques et moins stressants

La garde d’enfant est une manière de gagner de l’argent sans sortir de son rôle de mère. Cette activité peut devenir lucrative avec des clients qui viennent déposer leurs petits le matin pour les reprendre le soir. Au bout d’un certain temps, il faudrait envisager de créer une véritable garderie et entrer dans le secteur formel.

Le métier de coiffeuse à domicile tend également à être populaire. On ouvre un salon à la maison. Les clientes viennent après avoir fixé un rendez-vous. Cela évite d’être à l’étroit ou d’avoir trop de monde chez soi.

Les femmes au foyer peuvent aussi devenir coaches sportives. Elles peuvent proposer des séances de fitness ou de Zumba dans leur jardin. Dans ce même style, il est envisageable de donner des cours à des collégiens. Le métier de répétitrice pour les écoliers peut rapporter une certaine somme.

Le permis pour poids lourd

Le permis C est un document qui justifie qu’un conducteur est capable de conduire un camion de 3.5 tonnes et qui peut tirer une remorque de 750 kg tout au plus. S’il veut pouvoir conduire un camion avec une remorque plus lourde, il lui faut un permis CE. En obtenant le permis C, un chauffeur peut conduire des camions de marchandises pendant 5 ans et cela, avant l’âge de 60 ans. S’il dépasse cet âge, le permis ne sera valide que 2 ans jusqu’à ses 76 ans et un an s’il a dépassé cet âge.

Conditions d’obtention du permis C

Pour demander le permis poids lourd de catégorie C, le candidat doit avoir au moins 21 ans. Il doit aussi disposer d’un permis B. Si le candidat est en formation professionnelle pour devenir un conducteur de poids lourd, il peut demander le permis dit C1 avant ses 21 ans, mais il ne doit pas être âgé de moins de 18 ans. Si le candidat respecte ces conditions, il doit encore passer par un examen médical. Le médecin chargé de confirmer son aptitude à conduire un poids lourd doit être un professionnel habilité par le préfet. C’est seulement après ces étapes qu’il pourra passer les examens de code et de conduite.

Les examens nécessaires pour l’obtention du permis

Avant d’obtenir un permis C, le candidat doit passer 3 types d’épreuves. En premier lieu, il y a l’examen du code. Cette épreuve est indispensable si le conducteur a un permis B âgé de plus de 5 ans. Autrement, il peut se passer de cette épreuve. Ensuite, il fera une épreuve de conduite en dehors de la circulation. Celle-ci va durer 30 min. Cette épreuve est composée d’un test écrit de 6 min avec 10 questions à répondre. Il devra ensuite vérifier le véhicule et faire un test oral avant de réaliser une épreuve sur plateau. Il doit gagner 16 points sur cet examen pour pouvoir passer l’épreuve en circulation. Cette dernière durera 1 h. La capacité du candidat à reconnaître et à respecter plusieurs points de conduite sur route sera vérifiée.

Les avantages du travail à domicile

Vous avez toujours rêvé d’être votre propre chef ? Vous pouvez le devenir grâce au télétravail. Vous serez donc indépendant et libre. Vous organiserez votre emploi du temps comme il vous convient. Vous souhaitez travailler très tôt le matin ? Ou encore tard le soir ? Vous pouvez faire comme vous voulez. Vous n’avez de compte à rendre à personne. Grâce à cette liberté, vous pouvez aussi concilier plus facilement votre vie de famille et votre vie professionnelle. Vous avez besoin de faire passer en premier votre famille ? C’est vous qui décidez.
En travaillant chez vous, vous gagnez également du temps. Fini les temps perdus dans les transports pour aller au travail et pour retourner chez vous en fin de journée. Vous ne vous sentirez pas trop épuisé le soir. Vous gagnerez ainsi en qualité de vie.
Enfin, chez vous, vous pouvez gagner beaucoup plus d’argent qu’en étant salarié. Comme vous traitez directement avec des clients, vous récoltez 100% des bénéfices de votre activité.

Des inconvénients à ne pas négliger

Avant de vous y lancer, il faut également connaître les inconvénients du télétravail. D’abord, vos revenus ne sont pas assurés. Vos gains dépendent de votre manière de travailler, du fait que vous trouvez des clients ou non, de votre aisance dans les négociations, la communication, etc. Si vous ne parvenez pas à mettre en avant vos compétences, vous risquez d’avoir des difficultés financières.
Ensuite, en travaillant chez vous, vous avez moins de contacts humains. Vous devez donc savoir gérer cette solitude pour ne pas sombrer dans l’isolement. Pour cela, la solution est de trouver un espace coworking. Il s’agit d’un espace de travail partagé où vous pouvez louer un bureau. Vous pouvez y nouer de nouvelles relations, vous y faire de nouveaux amis, etc.
Pour réussir en télétravail, vous devez aussi bien vous organiser. Puisque vous êtes votre propre patron, vous pourriez être tenté de laisser couler les heures, ou au contraire, ne jamais arrêter de travailler afin de gagner plus. Fixez-vous des limites et planifiez bien votre travail.

La stabilité

Un syndicat peut fournir un lieu de travail stable. Les employés qui sont membres d’un syndicat profitent habituellement d’une plus grande sécurité d’emploi que les travailleurs non syndiqués. Ils acquièrent fréquemment une rémunération plus profitable et des avantages sociaux complémentaires. En conséquence, les travailleurs syndiqués pourraient être plus réticents à quitter l’entreprise pour poursuivre d’autres opportunités, en particulier pour se rendre dans un environnement non syndiqué. Une plus grande stabilité signifie moins de rotation professionnelle pour les employeurs et une réduction des coûts associés à l’embauche et à la formation de nouveaux travailleurs.

Sécurité du lieu de travail

Les syndicats s’efforcent fréquemment de faire en sorte que les lieux de travail soient aussi sûrs que possible pour leurs membres en impliquant des normes de sécurité améliorées dans le cadre des négociations contractuelles avec les employeurs. Bien que cela étale des avantages manifestes pour les employés, il peut autant être important pour les employeurs. Un lieu de travail plus sûr indique moins d’accidents et de blessures. Par conséquent, les entreprises paient moins pour les demandes d’indemnisation des travailleurs et connaissent moins d’absentéisme résultant de dommages liés au travail.

Construction et bâtiment en tête de liste

Les métiers dans le domaine de la construction et le bâtiment figurent parmi ceux qui accueillent plus d’apprentis chez eux. Il s’agit surtout du métier de peintre en bâtiment et de maçon. Pour les travaux d’intérieur, on a les apprentis électriciens et les apprentis plombiers. Du côté mobilier, le métier de menuisier est également parmi ceux qui privilégient les apprentis, d’après le baromètre.

Les autres métiers d’artisans

La première place de la liste dévoilée par le baromètre cette année est attribuée au métier de boucher. Le secteur automobile figure aussi dans cette liste, l’apprenti en garage est bien accueilli par ses pairs.
Le métier de coiffeur, de paysagiste et de boulanger figurent tout aussi bien parmi les métiers d’artisans qui embauchent le plus d’apprentis. Il est à noter que l’étude a révélé que ces métiers n’ont concerné que les métiers d’artisans dits « traditionnels », les métiers comme la photographie ou la décoration d’intérieur n’étant pas encore bien développés dans le secteur de l’artisanat.

En quoi consiste un pitch commercial ?

Il s’agit d’une synthèse d’arguments efficaces et percutants à utiliser lors d’une démarche commerciale pour attirer le maximum de clients et se démarquer de la concurrence. Le pitch doit répondre à des caractéristiques précises. Il peut être écrit ou oral, mais doit impérativement être court. Le but est de dire, en très peu de mots, l’essentiel de ce que vous voulez partager avec votre prospect le temps d’un court trajet (en ascenseur par exemple). Il doit lui donner envie d’en savoir plus et d’entretenir par la suite un échange plus formel. Ensuite, le pitch doit être mémorisable, permettant à votre interlocuteur de retenir les informations essentielles, comme votre identité et l’objet de votre proposition. Enfin, il faut que le pitch soit différenciant. Votre interlocuteur doit savoir que vous ne l’avez pas choisi au hasard. Pourquoi l’avoir choisi plutôt qu’un autre ? Le pitch ne doit pas apporter la lumière uniquement sur vous, votre entreprise et vos offres, mais donner de l’importance à votre interlocuteur en tant que futur client.

Et si vous rédigiez votre pitch en anglais ?

Vous ferez sûrement la différence dans ce marché fort en concurrence si vous faites votre pitch en anglais. C’est un moyen de surprendre les prospects et de donner plus que les autres. Vous pouvez ainsi développer votre marché au niveau local vers l’international. Alors, n’hésitez pas à suivre des cours pour améliorer votre anglais. Ensuite, concevez votre pitch suivant le principe du P comme présentation de votre personne et/ou de votre entreprise, I comme intérêt pour votre interlocuteur, T comme traduction en bénéfices pour votre client, C comme se centrer sur un message clé et H comme Hourra. Ce qui signifie que votre interlocuteur vous a écouté jusqu’au bout et semble être intéressé parce que vous avez proposé.